Présentation de Pein

Hors Rpg:
Prènom: Antoine
Age: 15 ans
Ce que vous aimer: Les mangas, le PC, les jeux vidéo
Ce que vous aimer pas: Les cours, les boulets
Votre vie^^: Les forums viole de plus en plus l'intimité des gens PAFFFF aieee !
Coment avez-vous connu se forum?
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Rpg:
Nom: Inconnue pour le moment
Prénom: Pein
Age: 25 ans (Comme il m'est inconnue, j'invente)
Village: Akatsuki
Histoire de votre personnage:

Naissance et problèmes

Kisame naquit dans le village de Kiri, au beau milieu de Mizu no Kuni, le pays de l’eau. Sa naissance ne fut guère appréciée par ses proches, à l’exception de sa mère. En effet, pour une raison obscure, l’enfant vint au monde avec la peau huileuse, aux teintes bleutées. Malgré cette anormalité, sa génitrice l’accepta immédiatement comme son bébé. Malheureusement, le bonheur de la femme ne dura guère longtemps.

Dès l’instant où son père le vit, une profonde haine mêlée de dégoût le submergea. Cet enfant n’avait rien de normal physiquement, ce qui constituait un crime en soi aux yeux de l’homme qui aurait dû l’élever. Ce dernier mit donc tout en oeuvre pour faire assassiner ce marmot indésirable. Mais c’était sans compter sur la vigilance de son épouse qui repoussa bravement tous les assauts à l’encontre de sa progéniture.

La femme mit tout en oeuvre pour élever son garçon dans les meilleures conditions, allant même jusqu’à se forcer à sourire quand elle sentait la présence d’un assassin. Cependant, quand venaient ces moments, le nourrisson plongeait ses petits yeux dans le regard profond de sa seule alliée. Et malgré son jeune âge, il pouvait lire aux fond de ces grandes prunelles une peur et une tristesse sans nom.

Durant ces instants, l’incompréhension prenait place dans l’esprit du rejeton. Instinctivement, il sentait que quelque chose n’allait pas, mais non seulement il ignorait la nature de ces problèmes, mais en plus, le fait de comprendre ces soucis n’aurait rien arrangé, du fait que son jeune âge ne lui permettait guère de faire autre chose que brailler, dormir, ou réclamer son biberon. Le seul réconfort qui pouvait l’assaillir fut la certitude que sa mère ne l’abandonnerait pas, quoi qu’il arrive...

Enfance

Les années s’écoulèrent petit à petit, et Kisame apprit les bases de la vie, à savoir le fait de parler, de marcher, et tout ce que savent faire les jeunes enfants. En grandissant, sa compréhension du monde qui l’entourait s’en vit augmentée, ainsi les attaques à son encontre et la tristesse que tentait de cacher sa mère ne passaient plus inaperçues. Cependant, sa vigilance ne faisait qu’accroître au fil du temps.

Puis vint un jour où les choses basculèrent pour le garçon. Cette journée qu’il n’oublierait jamais...

Alors âgé de six ans, Kisame intégra l’académie ninja du village de Kiri. Dès cet instant, les choses changèrent pour lui. En effet, même s’il restait tout le temps à l’écart des autres enfants, le garçon faisait tout ce qu’il pouvait pour obtenir d’excellents résultats. Car à ses yeux, finir en tête du classement des élèves de l’académie serait probablement le meilleur cadeau de remerciement qu’il pourrait offrir à sa mère.

Ce jour là, tandis qu’il atteignait sa dixième année, le jeune apprenti shinobi tentait de se concentrer du mieux possible sur le cours de tactiques de combat enseigné par le seul professeur qui ne semblait pas nourrir d’aversion à son égard. Depuis son intégration au sein de l’école ninja, Kisame travaillait comme un forcené et décrochait toujours la meilleure place dans les différents domaines. Il savait que cela faisait la fierté de sa mère, et cette raison lui suffisait amplement pour réchauffer son coeur meurtri par ces années de tentatives de meurtre sur sa personne.

Tandis qu’il étudiait calmement les tactiques ninjas sur le plan théorique, des cris parvinrent aux oreilles du garçon. Tous les regards se tournèrent vers les fenêtres de la classe, tandis que l’ambiance à l’extérieur semblait agitée. Soudain, un shinobi entra en trombe dans la pièce et se hâta de délivrer un message à l’oreille du professeur. Un grand malaise s’empara de l’enfant à l’apparence de requin lorsque les deux adultes tournèrent brièvement leurs regards vers lui.

La situation devint immédiatement très claire à ses yeux. Kisame se leva et courut vers la sortie de la salle. Son impression de malheur grandit d’avantage quand il se rendit compte que personne ne l’empêchait de quitter le cours à la cinquième vitesse. Décidément, quelque chose se passait, et cela n’avait rien de bon. Sa course le mena devant un spectacle sinistre. Sa maison était en feu, et le corps de sa mère gisait non loin de lui.

Tandis que les larmes montaient à ses yeux, Kisame se précipita au chevet de celle qui l’avait élevé et protégé durant ces dix dernières années. Personne ne voulait s’approcher de la dépouille et de l’enfant, aussi ce dernier laissa la tristesse et la rage qui l’habitaient jaillir de son corps sous la forme d’un hurlement qui déchira le faible silence qui tentait de s’installer. Ce fut ce jour là que le garçon décida de quitter son village. Étonnamment, nul ne tenta de s’interposer. Sûrement n’était il plus le bienvenue à Kiri maintenant que sa mère ne pouvait plus s’occuper de lui.

Toujours est il que le lendemain matin, la disparition de Kisame et le décès de sa génitrice ne furent pas les seuls sujets à polémique du jour. En effet, autre chose s’était déroulé à l’aube. Un ninja s’était rendu chez l’un de ses équipiers pour le prévenir qu’une mission les attendait. Pourtant, aucune réponse n’avait accueilli son appel. La curiosité aidant, l’homme avait décidé d’aller vérifier ce que faisait son ami, et s’était alors retrouvé face à un cadavre qui gisait sur son lit.

Au même moment, loin du village de Kiri, Kisame marchait tout en repensant à la manière dont il s’était introduit chez son père pour tuer cet homme qui avait attenté à sa vie durant toute son enfance, et dont le garçon était certain de la culpabilité quant à la mort de sa mère.

Un frisson s’empara de l’apprenti ninja. Non pas une sensation de tristesse ou de peur, mais plutôt de l’excitation. Après tout, il venait de commettre son premier meurtre...

Ninja et déserteur

Kisame continua de fuir son ancienne existence durant cinq ans, suite à quoi il fit une rencontre qui provoqua un nouveau changement dans sa vie. Alors qu’il errait ça et là sans but, le jeune homme, âgé de quinze ans, tomba nez à nez avec une bande d’assassins. Ces derniers tentèrent de le détrousser de toutes ses possessions -qui s’avéraient très faibles d’ailleurs- ce à quoi le membre de la famille Hoshigaki s’opposa fermement. Il sortit donc un kunai de sa sacoche, et se mit en garde face à ses agresseurs. Après tout, même s’il n’avait jamais quitté l’académie, Kisame connaissait au moins les techniques de base et savait manier les armes classiques, à savoir les kunais et shurikens.

Malheureusement, cela ne suffit pas pour venir à bout du groupe de brigands qui l’attaquait de toutes parts, si bien que le jeune homme prit d’avantage de coups qu’il n’en infligea, et finit par se retrouver face contre terre. Tandis que ses adversaires se penchaient pour voler les biens de leur victime, une ombre passa furtivement au dessus de l’adolescent qui n’en crut pas ses yeux en voyant ses ennemis tomber comme des mouches.

Une main tendue lui permit de se relever, suite à quoi Kisame détailla son sauveur. Il s’agissait d’un homme de taille moyenne qui portait une grande épée dans le dos. Un bandeau frontal à l'insigne rayée permit au garçon d’apprendre que le ninja était un déserteur du pays de l’eau. Ce dernier prit un certain plaisir à achever ses proies devant le regard médusé de l’apprenti ninja. Ainsi, les minutes passèrent sans qu’aucun des deux ne prenne la parole. Soudain, le regard de l’inconnu se posa sur son vis-à-vis avec un sourire en coin.

"Tu as l’air bien faible pour un ninja, gamin. Ton professeur n’a pas dû t’apprendre grand chose, à en juger par ta performance."

Kisame resta un instant silencieux, puis décida finalement de répondre à son aîné.

"Les seuls professeurs que j’ai eu enseignaient à l’académie du village de Kiri."

Son interlocuteur ouvrit de grands yeux avant de partir dans un rire bruyant. Apparemment, le jeune homme venait de dire quelque chose d’amusant, bien qu’il ne comprenait pas où se situait la partie humoristique dans sa phrase...

"Tu n’as même pas obtenu de diplôme à ton âge? s’exclama l’épéiste, entre deux gloussements. Ce n’est pas possible d’être aussi mauvais!"

Piqué au vif, Kisame se rua vers son interlocuteur qui n’eut aucune difficulté à le maîtriser. Pourtant, rien dans son attitude ne tenta à prouver que la conduite de l’adolescent l’avait dérangé. Au contraire, l’homme partit à nouveau dans un grand éclat de rire.

"Décidément, tu n’as aucun sang-froid, petit. Tu sais, je crois que je t’aime bien!"

Le fils Hoshigaki n’en crut pas ses oreilles, mais ne dit pas un mot. Il sentait que l’inconnu n’en avait pas fini avec lui, ce qui s’avéra exact. Ce dernier s’assit sur un rocher et fixa son cadet. Puis d’une voix calme, il prononça quelques mots.

"Racontes-moi."

Ainsi, comme s’il attendait ces paroles depuis longtemps, Kisame partit dans une longue tirade. Il raconta son enfance, les tentatives d’assassinat de son père, la mort de sa mère, et même le fait que ce fut lui qui avait tué son géniteur. Pas une seule fois l’homme ne l’interrompit. Mais quand le récit fut terminé, l’épéiste soupira avant de s’exprimer lentement.

"Ton histoire ressemble beaucoup à la mienne. Tu pourrais m’être utile, petit. Je déclare donc qu’à partir d’aujourd’hui, tu es mon élève. Tu n’as cependant pas besoin de connaître mon nom. D’ailleurs, seules quelques personnes l’ont déjà entendu, mais la plupart de mes connaissances m’appellent Danse-Lame. Il en sera de même pour toi désormais."

Kisame acquiesça, ravi d’avoir enfin un allié. Peu lui importait le nom dont il était affublé, car tout ce qui importait, c’était le fait qu’ils étaient à présents compagnons. Les années qui suivirent furent à la fois très compliquées pour le jeune homme, du fait que l’entraînement que lui infligeait son maître n’avait rien d’une partie de plaisir, mais en même temps ce furent les meilleures années de sa vie depuis son exil.

Lorsque les combats arrivaient, Kisame pouvait admirer le talent de son professeur au combat, et cela lui permettait également de comprendre l’origine de son surnom. En effet, lorsqu’il se battait, Danse-Lame effectuait des parades et des figures incroyables, tout en tranchant les points vitaux de ses victimes. En général, son épée suffisait à venir à bout de ses ennemis. Mais lorsque le combat durait trop longtemps, l’homme usait de ninjutsu de type suiton pour mettre un terme à l’affrontement.

Kisame mit à profit ses entraînements pour apprendre le maniement d’une épée qu’il avait volé lors d’une razzia sur un village. Son maître l’avait informé que ce sabre répondait au nom de Samehada, et que ses propriétés en faisaient une arme redoutable. Le jeune homme développa par la suite ses propres jutsus suiton, tout en perfectionnant sa force physique pour se servir aisément de sa nouvelle alliée qu’il transportait toujours dans son dos.

Le temps s’écoula et Kisame intégra le groupuscule terroriste des Sept Épéistes de la Brume avec son maître. Leurs forfaits les rendirent tous très célèbres de part le monde. L’homme au visage de requin se forgea sa propre célébrité en assassinant un Daymiô, un chef de clan, ce qui fit de lui un criminel de rang S. De plus, le fait de participer à de nombreuses attaques avec ses équipiers poussa de nombreux pays à mettre sa tête à prix.

Par la suite, Kisame intégra l’organisation secrète de L’Akatsuki, où il fait équipe depuis avec Uchiha Itachi. Il est bon à savoir que ce duo de criminels semble être celui qui a le plus d’affinités entre ses membres, contrairement aux autres équipes qui ne semblent pas vraiment s’apprécier. Voilà où en est Kisame, au début de notre histoire...